Clémence, prépa Orthophoniste
Maman est orthophoniste et si je pense qu’il n’y a aucune question d’hérédité là dedans, j’ai pris goût a sa profession, ses responsabilités, sa relation aux patients. Je l’ai suivie pendant des années dans son cabinet, y compris au cours de mes études secondaires et admirais son travail. Cependant la sélection à l’entrée des centres de formation n’était pas à l’époque ce qu’elle est aujourd’hui. Bien qu’étant de bon niveau en Français, je n’ai pas voulu tenter le concours l’année de Terminale, ni même l’année suivante pour me laisser le temps de mûrir et d’être bien sûre de mes choix. J’ai d’abord fait deux années de science du language à la fac d’Angers, ce qui ne pouvait pas me faire de mal au regard de ce qui est attendu aux concours d’orthophoniste. Pour valider ces deux premières années, mes passages au cabinet ont du se faire moins réguliers et le contact avec sa clientèle commençait à me manquer. J’avais compris que le moment était venu et que l’orthophonie était le métier pour lequel j’étais faite. Pour me préparer le mieux possible au concours des écoles d’orthophoniste, j’ai choisi de faire une prépa annuelle chez Sup Admission. C’est là que j’ai pu me rendre compte du niveau demandé au concours d’entrée. La préparation est harassante, intense, mais tellement enrichissante. L’enseignement y est très diversifié, fait de linguistique, d’expression écrite, de culture générale, de mathématiques, de biologie, de physique (indispensable dans certains concours), de tests psychotechniques et d’entretiens. Beaucoup d’étudiants doivent tenter le concours à deux voire trois reprises pour être admis. Notre classe à Sup Admission était d’ailleurs composée d’élèves qui avaient déjà fait une prépa Orthophoniste pour une grande majorité d’entre elles (nous n’étions que des filles !). Mais, grâce à la qualité des cours de Sup Admission et de l’entrainement auquel j’ai été soumise, il m’a suffit d’une tentative pour réussir et nous étions nombreuses dans ce cas. Evidemment il s’agit d’une prépa qui demande énormément de travail et de motivation tant la quantité de connaissances à apprendre et à maitriser est importante, mais nous sommes encadrées par une équipe d’enseignants tellement impliqués qu’il ne parait pas pensable à quelqu’un qui veut réussir de pas faire le boulot ! Moi j’ai fait le mien et je remercie infiniment toute l’équipe de m’avoir constamment encouragée !
Marine, prépa Psychomotricien renforcée
J’ai eu un Bac ST2S et comme beaucoup de bacheliers de la série, je me destinais plutôt à la profession d’infirmière ou dans le social. J’étais donc sur le point de m’inscrire à une prépa IFSI à Sup Admission à l’occasion d’une journée portes-ouvertes quand j’ai rencontré sur place une ancienne élève de cette prépa qui était en formation en dernière année de psychomotricité à Bordeaux. Et cette rencontre a complètement bouleversé mes choix. Elle m’a bien sûr parlé de sa formation, de ses stages en cabinet libéral où à l’hôpital. Nous avons gardé le contact et elle m’a même invitée à rencontrer une psychomotricienne installée, ce qui a fini de me convaincre. Il restait une difficulté car venant de ST2S, je ne maitrisais pas le programme de Biologie du concours qui est centré sur celui de Première et Terminale S. Cette difficulté n’en était pas une puisque Sup Admission propose une prépa psychomotricien renforcée qui fait rattraper en quelques mois le retard. Avec moins d’une chance sur vingt pour réussir le concours, 16 heures de Biologie par semaine de septembre à mars dans une structure sérieuse, c’est la formule qu’il me fallait pour bien me préparer. J’ai appris à travailler grâce à eux, j’ai acquis des connaissances et surtout les capacités de les utiliser intelligemment. Tous les cours, toutes les séances de TD, que ce soit en Français ou en Bio, n’ont qu’une seule finalité, te rendre efficace dans l’épreuve que tu auras à passer. De la même manière, tous les concours blancs, et il y en a ! visent un seul objectif, te mettre dans les conditions réelles d’épreuve. J’ai réussi du premier coup et ça je le dois à Sup Admission car venant d’une modeste Terminale ST2S, ce n’est pas mon profil qui a pu faire la différence. Merci encore à tous les profs de Sup Admission et à l’administration, qui était toujours là pour nous motiver. Merci merci !
Maxime, prépa Audioprothésiste
C’est depuis la classe de Troisième, après avoir effectué un stage de découverte chez un orthophoniste, que l’envie de devenir audioprothésiste m’est venue. L’orthophoniste travaillait sur des problèmes de surdité qui touchent des enfants et faisait appel à un audioprothésiste pour corriger leur handicape. A son tour l’audioprothésiste m’a invité dans son atelier et là, j’ai pris ma décision de faire ce métier là. Le travail n’y manque pas puisque nous vivons de plus en plus vieux et que avec l’âge l’individu perd de l’audition et a donc besoin d’une correction ou d’un appareillage. Ce métier me permettait également, et ce n’est pas un aspect négligeable, de gagner confortablement ma vie. Mon Bac en poche, j’étais bien décidé à passer et à réussir au concours. Pour me donner davantage de chance, je me suis inscrit en classe annuelle Audioprothésiste à Sup Admission, une prépa paramédicale qui m’avait été conseillée par une amie qui était passée par là pour se préparer au concours de podologue et qui avait réussi. Je n’ai pas été déçu ! J’ai travaillé plus que jamais je n’avais travaillé auparavant, mais ça n’a pas été peinible étrangement. Je n’ai jamais été un gros bosseur et franchement j’aurais pu être dégoutté par la quantité de travail qui nous à été demandée. Mais en fait, l’ambiance était tellement bonne que nous ne ressentions pas la fatigue de l’accumulation de toutes les heures de travail en classe ou de travail personnel chez nous. Des professeurs très motivés et disponibles qui savent créer une cohésion et une atmosphère à la fois studieuse et détendue. Le programme était dense, c’est vrai, mais les résultats étaient au RDV. Mes notes aux concours blancs m’ont mis en confiance. Les stages intensifs organisés par Sup Admission et qui sacrifiaient un peu les vacances scolaires, m’ont bien fait progresser sur le plan des méthodes et de la rapidité. Cette prépa a vraiment été une excellente, et je ne dis pas ça parce que j’ai réussi, car j’y ai rencontré des gens, professeurs et assistantes, avec beaucoup de qualités humaines. Dommage qu’on ne trouve pas ça au lycée. Merci à vous !